MacOS X : Lion – mise à jour on the air…..

Avec Lion, Apple frappe-t-il un bon coup ?


Ce n’est pas sûr mais en tous les cas, le système de mise à jour par le Mac App Store est un sacré plus, en effet, cela va aboutir à une adoption rapide de ce nouvel OS.


Ce système de mise à jour est-il innovant ?


Oui et non, oui pour un OS payant la simplicité d’installation permet pour un néophyte de basculer sans se déplacer et de juste mettre en oeuvre l’installation.
Non, les OS open source proposent depuis longtemps de mettre à jour son OS directement par la mise à jour automatique.
C’est exactement ce qu’a utilisé Apple mais avec un format payant.
Il est évident que le Mac App Store est vraiment le point fort d’Apple pour le déploiement des applications et c’est d’autant plus vrai avec l’OS. Et là, il propose un basculement simplifié.


Dans la pratique direction le Mac App Store, on achète Lion et on télécharge les 3Go et un peu plus du fichier d’installation.


Il est préférable de faire une sauvegarde que ce soit par Time Machine ou autre avant de procéder histoire de ne pas se retrouver planté sans réinstallation de ses données personnelles, cela Apple n’y a pas pensé. 


Autre point que je conseille vivement utiliser le logiciel Lion DiskMaker [1.2 – 37 Ko – Français – Mac OS X 10.6 – Gratuit] N’hésitez à faire un don à Guillaume Gete. Ce petit logiciel vous permettra de créer une image d’installation de Lion sur clé USB. Cela peut s’avérer fort utile.


Une fois cela fait, on lance l’installation, cette dernière dure environ 45 minutes.


A priori, vous ne rencontrerez pas de problème particulier, et vous vous retrouverez avec un Lion sous le capot.


Mais, bon, soyons honnête cet OS n’amène pas de chose à couper le souffle le mode plein écran est bien et simplifie l’usage du Multi-bureau un peu fouillis

Les combinaisons de gestes sur le Trackpad sont eux vraiment bien et simplifient l’usage au quotidien.


Mais, vraiment la grosse avancée qui n’en est pas une est l’installation de la mise à jour OS comme un composant logiciel.

Des clefs pour le Crédit Impôt Recherche

Le sujet du Crédit impôt recherche étant assez vaste je ne m’attarderais pas sur l’aspect administratif ni sur comment l’obtenir.

Le site du ministère étant très bien fait, je vous le recommande .
Je vous recommande aussi de vous munir du manuel de frascati, publié par l’ocde, qui est la bible dans ce domaine.
Je voudrais aborder plutôt, l’impact du CIR dans le contexte de l’entreprise.
Innovation
Tout d’abord il faut savoir que lorsque l’on est un heureux élu du CIR, on se doit d’innover.
Pour cela, il est important d’avoir défini un objectif scientifique et technique pouvant déboucher sur une application industrielle valable.
Ceci étant posé, on peut se demander de quelle façon les travaux que l’on va déclarer au CIR peuvent être innovants ?
Et la réponse n’est pas forcément facile et immédiate …
Etat de l’art
Un travail nécessaire avant de faire quoi que ce soit est de constituer un état de l’art en rapport avec le projet engagé. Bon, les scientifiques ( moins les ingénieurs) savent ce que ça veut dire: aller à la pêche aux infos dans les bases de brevet, les bases scientifiques, etc.; bref c’est un travail de veille pur et simple mais qui risque de ne pas être payant à tout les coups.
Mieux vaut donc se rapprocher d’un labo scientifique expert dans le domaine dont c’est le métier (en partie) de faire cette veille. Par la même occasion, on peut même en profiter pour embaucher un doctorant issu de ce labo à moindre frais.
Production R&D
Maintenant que l’objectif et l’état de l’art sont connus, on peu passer à la phase la plus importante qui est celle de ce que j’appelle la production R&D: atteindre l’objectif fixé ( et déclaré au CIR !) en faisant sauter les verrous scientifiques et techniques pour obtenir des résultats tangibles.
Ces aspect là doivent normalement être maîtrisés par les ingénieurs affectés au projet ou au produit à créer.
Par contre il est particulièrement important de mettre en place un cahier de laboratoire pour chaque intervenant qui va permettre de suivre au jour le jour les avancées ou tout au moins les travaux de R&D.
Ce cahier de laboratoire doit pouvoir comporter au minimum
  • le temps de travail alloué spécifiquement au projet ou produit,
  • la part éligible au CIR ( tout ne peut pas être inclus dans le CIR)
  • et enfin un résumé des actions.
Dossier Annuel
C’est sur la base de ce cahier de laboratoire, que sera rédigé le dossier de projet qui devra être fourni à l’administration fiscale en cas de contrôle.
Je recommande de rédiger ce dossier le plus rapidement possible ( généralement en fin d’année)
Ce dossier doit reprendre:
  • le contexte dans lequel le projet ou le produit a été développé
  • les objectifs déclarés
  • l’état de l’art
  • les travaux effectués avec le détail des jours mensuel par intervenant
  • les difficultés rencontrées et les verrous
  • et enfin les progrès accomplis
Contrôle Fiscal
Le contrôle est piloté par l’administration fiscale ( les impôts) et non pas par le ministère de tutelle.
Il se déroule en deux phases ( si tout se passe bien!):
Première phase:
Un contrôleur des impôts s’installe dans les locaux de l’entreprise pendant quelques jours, questionne les responsables et vérifie les chiffres. Lors de cette phase, il est nécessaire que le cabinet comptable soit disponible pour produire l’ensemble des documents demandés par le contrôleur.
Attention, le loup étant dans la bergerie, il est important de maîtriser parfaitement les informations communiquées et de ne pas laisser divaguer la bête à son gré, des propos malheureux tenus par des employés à la machine à café étant vite arrivés…
Deuxième phase:
Un expert du domaine scientifique ou technique en rapport avec le projet ou produit va éplucher le rapport annuel sur le fond et rendre son avis sur le caractère « R&D » des travaux engagés.
là vous ne pouvez compter que sur la qualité de votre rapport.
Attention quand même, il semblerait que les contrôles faits par l’administration fiscale deviennent quasiment systématiques (ce qui serait le cas dans les Bouches du rhône et dans l’hérault) et que l’attribution du CIR dépend des résultats des contrôles des précédentes années.
N’ayant pas de confirmation officielle, ce ne sont que des projections à partir de témoignages.
Pour conclure
Les statistiques du CIR montrent que les petites entreprises bénéficient de 30% du montant annuel du CIR.
C’est donc un élément clef pour le développement d’une start-up techno!

Dropbox et le partage de fichier

Depuis quelques temps, j’étais à la recherche d’un disque dur virtuel de qualité et surtout efficace sur toutes les plateformes.
J’ai alors fait une bonne découverte certes avec un peu de retard : Dropbox.
Effectivement, je suis sur Mac OS X et il y a bien le iDisk de MobileMe qui est bien intégré mais pas aussi bien fait que le système mis en place par Dropbox. Avec l’iDisk vous devez faire la démarche de synchroniser vos documents sur le Web et donc d’avoir vos fichiers disponibles partout via un browser ou webdav (bien que sous Windows 7 cela ne fonctionne pas super bien).
Dropbox a eu la bonne idée de créer une application Windows, Linux, MacOS, Android, Blackberry, iOS… et surtout de considérer que la synchronisation devait être transparente. Et, là, chapeau, l’outil est réussi et synchronise donc un répertoire Dropbox sur l’ensemble de vos systèmes mais surtout à une vitesse qui vous laisse à penser que vous avez une connexion du tonnerre (Quid : Savez vous pourquoi ? Je l’ai appris il n’y pas longtemps je ferai un article là-dessus).
Et, il faut le reconnaître Dropbox remplace depuis quelques temps ma clé USB avec mes documents que j’échangeais de PC en Mac, de Mac en PC, certes ce n’est pas une backup mais vraiment un outil d’échange.
Certes, on a que 2Go mais c’est amplement suffisant pour mes PDF et autres documents Word.
Apple avait une bonne idée avec l’iDisk mais ils se sont trop axés sur une utilisation purement Mac et n’ont pas pris en compte un environnement Multi OS, en fait, si mais ils n’ont considéré que le Browser et honnêtement ce n’est pas suffisant
Dropbox est donc pour l’outil grand vainqueur pour un fondu de clé USB comme je le suis.
PS: si vous le souhaitez aider moi à gagner des Mo en vous parrainant : https://db.tt/121QWCa

Comprendre la tarification Azure

Un peu dur de comprendre le principe de tarification des offres de Cloud Computing et surtout de comprendre si l’on peut y être gagnant.
Le principal problème pour moi était le concept de consommation horaire qu’est ce que cela voulait dire ? Que l’on paye en fonction de l’utilisation effective de l’instance que l’on utilise ? Non, il ne faut pas le comprendre ainsi ce n’est pas un forfait téléphonique, oui, bon, je suis un peu nul d’avoir pensé cela mais c’est bien le principe du Pay as You Use, j’ai pensé cela principalement parce que je ne voyais vraiment pas ce que l’on pouvait estimer d’autre. Enfin, la réponse me vient par une personne de chez Microsoft lors des Techdays : « C’est en heure de déploiement sur un type d’instance et par instance ».
La base de calcul pour un mois et donc : 24 * 30 = 720h d’où les forfaits à 750h de Microsoft. J’ai enfin une base et j’ai enfin compris.
Comme vous constaterez en allant sur le site Azure, cela représente un coût mensuel de 61€ pour l’instance la plus petite sur 720h, Microsoft base ses calculs sur 750h pour laisser de la marge et surtout permettre éventuellement de déployer sur une deuxième instance pendant des périodes courtes.
Alors, oui, la solution proposée semble attractive mais le calcul est à faire et surtout l’utilisation de cet environnement doit être murement réfléchi par rapport à un environnement mutualisé classique.
Je vais maintenant essayer de faire le même travail pour l’App Engine de Google afin de me faire un comparatif.
En tous les cas, Microsoft cherche à toucher les TPE-PME et cela est vraiment une bonne chose avec un premier prix attractif, mais il faut quand même se poser la question de l’utilité d’une plateforme si complète pour des sites Web extranet ou internet d’entreprise.

Update 1 : Sur un mois de 31 jours 744h rentre bien dans le forfait 750h pas plus de 6h de pique dans le mois.

Les Techdays 2011 – Le cloud consacré

Comme chaque année en ce début février se tiennent les Microsoft Techdays, et il faut l’admettre comme chaque année ils mettent le paquet.
Les présentations sont toutes de bon niveau et les intervenants sont bien préparés, ce qui est normal mais n’est pas toujours le cas. 
Cette année est vraiment la consécration du Cloud selon Microsoft à savoir la plateforme Azure, l’offre est très complète (Windows, Storage, SQL…), quand on pense informatique dans le Cloud, cette solution est une des premières qui vient à l’esprit.
Au cours de cette édition, force est de constater que l’accent est également mis sur les applications Web comme Office On Line, Exchange On Line et surtout de les intégrer dans le concept du Cloud. Ces services en lignes sont maintenant ultra développés, compatible avec la plupart des butineurs et bénéficient d’une tarification plus attractive. 
Mais, pendant ces 3 jours, les conférences ne parlent pas que du Cloud mais vraiment de tous les produits Microsoft orientés productivités d’entreprise.
C’est vraiment bien que Microsoft organise cette événement en France, car il faut l’admettre à part cela nous n’avons pas beaucoup d’occasion de participer à ce genre de manifestation. Le WWDC d’Apple coûte une fortune et se situe de l’autre coté de l’Atlantique. Autre point fort, elle est GRATUITE……

Plénière du 9 février 2011

Comme vous le voyez sur cette photo, il y a du public et nous en sommes demandeur, ce serait vraiment bien un show de l’informatique en France à la manière du CES. 
Pour 2012, je souhaite les Google, Apple, IBM, ORACLE WWDC et bien sûr les Techdays, pour ces derniers c’est quasi-certain pour les autres un simple voeux.

Un petit coup de peinture ne fait pas de mal

J’ai soumis le Blog à une serial blogueuse pour qu’elle me donne son avis éclairé. But: augmenter la fréquentation.
Une chose est sûre, ce blog est destiné aux geeks, et d’ailleurs c’est devenu le sous-titre.
Le but n’est pas de fournir de l’information sur les produits et dernières évolutions, Twitter est là pour ça.
Il faut donc absolument que je l’alimente d’articles de fonds plus que de brèves Je me remets donc au boulot et vais travailler chaque semaine sur son alimentation.

Quelques adresses pour Azure….

Après un petit détour, me voilà reparti sur le Cloud et plus particulièrement celui de Microsoft. En effet, depuis que je me sers de Twitter, on peut vraiment dire que je suis un Geek, cependant comme source d’information, cet outil est bien plus intéressant que Facebook, j’ai donc pu glaner quelques adresses très instructives :
Point de départ pour démarrer sur la plateforme https://www.microsoft.com/windowsazure/getstarted/default.aspx
Comme, vous le voyez Microsoft met le paquet dans les environnements de développement et propose des SDK pour de nombreux langages dont Ruby et PHP.
J’en reviens souvent à ce point mais la grande force Microsoft est de proposer un environnement de développement très performant et intégré.
Je vais mettre à jour dans les commentaires les prochains liens de ce type, commentaires bien venus.

Mac App Store : Bonne idée mais comment ont-ils pu ?

Depuis une semaine, Apple a sorti une mise à jour de son OS pour y intégrer son Mac App Store. Maintenant, soyons franc, j’attends avec impatience celui de Microsoft, mais peuvent ils le faire ?
Apple a grâce à son iTunes Store et le fameux Apple ID créé d’après moi le premier magasin virtuel de logiciel, ils l’ont fait non pas grâce à leur OS mais grâce à leurs iPod/iPhone/iPad qui vous obligent à basculer sur l’iTunes Store, même si vous pouvez acheter par un autre fournisseur, ils ont focalisé des acheteurs essentiellement avec ce couple Hardware/Logiciel.
Autres points, l’uniformité totale de leur système de paiement entre les différents portails marchands de la société : Apple Store (Web), iTunes Store, VOD, iBookstore, App Store, et maintenant Mac App Store, j’en oublie sûrement, pas paypal mais un Apple ID. Alors, vous me direz il faut une carte de crédit en fait non pas forcément avec les cartes prépayés (un autre coup de force).
Pour conclure, là où Apple a une longueur d’avance sur les autres, c’est sur son système de paiement.
Alors oui, Apple ne gagnera pas la bataille du nombre ça c’est certain, que ce soit sur PC (Windows) ou Mobile (Android?), mais grâce à son système intégré, ils ont trouvé le moyen de fidéliser et je pense que ce n’est pas que les produits mais plutôt leur AppleID.
Commentaires et remarques sont les bienvenus.

Bonne année

SNail IT Blog vous souhaite une bonne et heureuse année 2011.
Cette année qui s’annonce riche en évènement surtout dans le domaine du CLOUD et de la Virtualisation, les deux étant très liés.
Avec à retenir, l’arrivée du netbook Chrome OS de chez Google qui même si j’ai du mal à comprendre pourquoi faire un netbook plutôt qu’une tablette risque de faire beaucoup parler. Avec l’arrivée de ce netbook, l’émergence du cloud computing à destination du particulier, Google va en effet fournir toute une liste d’application directement utilisable dont la localisation est clairement le CLOUD.
Autre point, l’émergence d’une plateforme CLOUD et là je parie sur Azure même si il manque un compte gratuit pour tous les abonnés MSDN et pas seulement les premiums. Pourquoi Azure, principalement à cause de Visual Studio et du SDK qui s’intègre très bien l’un et l’autre.
Et enfin dernier point, la victoire d’Android ou du moins la victoire du nombre et pas seulement de l’économie car là je suis d’accord avec Jean-Louis GASSE et son billet du Monday Note, sur les choix d’Apple et sa volonté de ne pas reproduire ce qu’elle a fait pour le Mac et la plateforme iOS est quand même d’une rare qualité bon par contre xCode vite du changement.
Au final, trois grands acteurs vont se démarquer d’après moi en 2011, ce sont Google, Microsoft et Apple.