Time Machine : la sauvegarde pour les nuls

Ce titre, un brin péjoratif, reflète bien le fait que c’est un outil de sauvegarde d’une simplicité étonnante.
Depuis, Leopard (10.5), Mac OSX a introduit ce nouveau système de sauvegarde automatique. Pour l’utiliser un disque dur USB vierge qu’il faut formater en HFS+, dès le branchement du disque Time Machine vous demande si vous souhaitez l’utiliser comme disque de sauvegarde et commence la première synchronisation qui peut durer un moment en fonction des données de votre disque principal.
Avec Time Machine, Apple a prévu tous les cas de pertes de données effacement accidentel, crash disque… En effet, la restauration après réinstallation est automatiquement proposée.
Time Machine sauvegarde les changements toutes les heures. Si le disque sature il supprime les sauvegardes les plus anciennes avec ou sans avertissement.
Alors, vous pourrez me lancer que Windows 7 propose également cela oui c’est vrai mais je trouve l’outil moins performant sur trois points :
– Il faut soit même programmer ce que l’on veut sauvegarder et sur quel fréquence.
– La restauration n’est pas si visuellement simple.
– Il ne supprime pas de lui-même les sauvegardes les plus anciennes.
Alors, oui, je maintiens mon titre, Time Machine est vraiment la sauvegarde pour les nuls, cependant, il faut quand même que je le précise, il existe sous Linux un équivalent sympa et assez efficace mais un peu plus proche de la solution Windows : « Back in Time ».
La sauvegarde est un des points importants des futurs OS, en effet, les données numériques ont le vilain défaut de disparaître facilement, il faut donc que l’OS propose la solution la plus simple et efficace pour l’utilisateur avec une interface plaisante pour ne pas être rebuter par la mise en place de cette solution.

Développement sur machine virtuelle….

Changeons un peu de mon sujet habituel qu’est le cloud computing, sujet passionnant.
Depuis quelques temps maintenant nous développons des outils en Java et utilisons pour cela Netbeans sous Windows 7 pour mon cas. Cependant il faut l’admettre sous Windows, les outils de développement en Java comme Netbeans ou Eclipse sont d’une lenteur incroyable.
Du coup, après avoir vu Netbeans sous Ubuntu, je me suis dit que j’allais utiliser une machine virtuelle en l’occurrence l’excellent outil VirtualBox sur lequel il est très facile d’installer Ubuntu ou tout autre linux.
Et là, la grosse surprise c’est la vitesse mon netbeans sur Linux démarre à peu près à la même vitesse que sous Windows voir même un peu plus vite une fois le premier lancement effectué.
Cela laisse à penser que soit Java n’est pas optimisé sous Windows soit c’est un problème différent que j’orienterai plus vers le système de fichier, et si c’est bien cela alors qu’est ce qu’attend Microsoft pour enfin revoir NTFS.
Alors pourquoi ne pas switcher sous Linux ? Et ben non pas possible à cause d’un élément important le progiciel de la société ne marche qu’avec IE, notamment à cause de la fusion avec Word et de l’utilisation des ActiveX.
Les machines virtuelles sont peut être l’avenir de l’informatique, on virtualise tout et pouf on revient quand même sur le Cloud et ses environnements virtualisés.

Linux, Netbeans, SVN avec SMBFS

Lors de nos développements, nous travaillons dans un environnement serveur Windows mais avec des clients Linux, Netbeans y est bien plus rapide que sur Windows.
Cependant notre source SVN se trouve sur un serveur Windows régulièrement sauvegardé, c’est alors posé le problème de mise à jour du SVN à partir de Netbeans sans être obligé de le lancer en « sudo », voici ci-dessous comment nous le montions :

mount -wt smbfs yourdrive yourlink -o username=yourusername

Et l’erreur que nous avions :

Netbeans SVN Can't create directory permission denied

Après plusieurs tentatives, nous avons donc changer la méthode de montage du disque réseau en faisant comme suit :

mount -wt smbfs yourdrive yourlink -o username=yourusername,filemode=0777,dirmore=0777,uid=youruid,gid=yourguid

Il s’agissait donc bien d’un problème de droit au moment du montage du répertoire SMBFS.